dans la catégorie Dionysos
samedi 25 août 2012
mercredi 25 juillet 2012
La Cloche à fromage
Le plateau de fromage de La cloche à Fromage
jeudi 19 avril 2012
Rien n'est plus dévoilant que la nudité fut-elle la nudité vétue
Helmut Newton, Un monde sans homme, Filipacchi, Paris, 1894
Hier, j'avais pris une journée pour aller voir L'exposition Helmut Newton, et faire les magasins, j'avais repéré jeudi dernier un haut...
Je partis donc voir l'exposition au grand palais :
jeudi 8 septembre 2011
Diner à l'auberge Pyrénées Cévennes
L'année était encore dans ses balbutiements qu'un trio de personnages que nous pourrions bien qualifié de le Bon, La Brute et le Truand se retrouvèrent pour faire un très mauvais tour à leur régime, : aller diner à l'auberge Pyrénées Cévennes.
Nos compères échouèrent là, car comme à leur déplorable habitude, le restaurant qu'ils cherchaient avait disparu, et ils avaient dû, une fois de plus, s'adonner à une antique magie noire pour trouver ce délicieux bistrot.
Après un apéritif, l'un des plus vils prit une salade de pissenlits avec un œuf poché:
Continuant dans ses déplorables habitudes, il enchaina sur des rognons de veaux :
accompagné, Oh sacrilège , d'une casserole de pommes sautés :
Se rappelant un peu tard que l'addition de sa triste vie arriverais inéluctablement, il se contenta en dessert d'une soupe de framboise :
Expirant de ses péchés par un digestif oh-ni, il trouva ce bistrot fort avenant.
mercredi 27 juillet 2011
Déjeuner chez Hiramatsu
Il fallait bien que je fasse honneur à ma réputation de vil démon tentateur : Toi, tu es le diable incarné, le Tentateur dans toute sa splendeur
Je traina donc mercredi midi un ami chez Hiramatsu.
Nous fime le choix de prendre le menu déjeuner d'affaire, menu en trois plats, à quarante-huit euros, ce qui pour un restaurant gastronomique est peu onéreux.
Nous commençames par une coupe de champagne qui agrémentait un sorbet de melon.
Devant le botin qu'était la carte des vins, le maitre d'hotel nous conseillai un Givry, qui était simplement excellent et s'accorda avec les plats à merveille.
L'entrée fut un saumon sauvage confit.
La photographie n'arrive pas à rendre hommage, en effet le plat était posé sur de la neige carbonique aromatisé aux herbes, des fumées blanches sortaient donc du plat. Le mélange des saveurs entre le saumon et le tartare de crevette était adorable mais surprenant.
Le plat principal arriva alors, c'était pour nous deux un Filet de rascasse à la plancha
La tranche de lard grillé faisait pour mois un contrepoint aux filets de poisson , mon convive n'était pas de cet avis, mais cela ne nous empécha pas d'apprécier le plat.
En dessert , mon ami prit un Riz noir "Venere" au lait croustillant d'amandes,
Pour ma part je pris une compote de pêche plate en coupe façon Melba.
C'était un assemblage d'un sabayon pêche sur une compote et un granité avec un coulis de framboise. Divin.
Nous finissame avec deux café et leur mignardises. C'était une truffe et un cannellé. Soucis du détail, les truffes étaient fixé à l'assiette par un peu de sauce chocolat.
Nous vimes le chef (japonais pur souche) qui voulait savoir si le repas était à nôtre goût. Ce qui était tout à fait le cas.
En fait la seule surprise désagréable vu au moment de régler quand nous sûmes que la coupe de champagne était à vingt euros. Nous avons trouvé cela exagéré, mais las nous savons maintenant ou ils font leur marge, et le champagne était vraiment bon.
Hiramatsu est donc un excellent restaurant gastonomique, inventif et abordable tant que l'on se méfie des apéritifs, et que l'on reste raisonnable sur la divine bouteille (qui peut monter jusqu'à six milles euros).
Il reste maintenant à faire un tour au Japon pour tester les autres restaurants.
Sur ces plans futurs, je repartis ensuite travailler jusqu'à vingt heures car la business intelligence est une petite chose fragile et a besoin de beaucoup d'attention...
vendredi 15 juillet 2011
Diner chez Kiku
Samedi soir, avec un excellent ami, nous décidâmes malgré les trombes d'eau s'abattant sur la capitale de tester le restauant japonais Kiku, qui m'avait été recommandé par un ami dont je conserverais l'anonymat, car il y a la vengeance prompte.
Nous arrivâmes donc chez Kiku sur les pointes de 19h30, à l'ouverture. Miracle nous avons pu avoir la derniére table non réservée.
Après un excellent cocktail Kiku, mélange de champagne et de vin de prune, nous commençâmes notre diner par un assortiment de sushi de patate douce, ravioli sauce yuzu, sushi de tofu.
Suivirent des sashimi de chinchard à l'huile de yuzu :
Pour finir avec les entrées, des tempuras de gamba :
Nous attaquâmes ensuite les plats principaux , J'avais pris une fondue de filet de bœuf et œuf mollet servi avec du riz minute et ses légumes , le tout accompagné d'une des meilleures soupe miso que j'ai gouté :
Ce plat, objectivement moins fin que les entrées, était excellent et m'a permis de mettre un goût sur la saveur Umami.
Pour finir je pris des crèmes brulées au thé vert et au sésame noir :
Elles étaient bonnes mais un cran en dessous du salé.
Kiku (56 rue Richer 75009 Paris - 01 44 83 02 30) est un des meilleurs japonais que j'ai gouté à paris par sa cuisine différentes des autres japonais français. il faut juste arriver à avoir une table (la salle est minuscule).
Repus de ce repas nous pûmes repartir sous la pluie battante, vers l'antre de la bête et de ses minions.
mercredi 13 juillet 2011
Diner à l'atelier du Goût
Je passais quelques jours à Strasbourg pour déjeuner avec des amis à la cloche à fromage ,
ainsi que pour aller aux Rencontres Mondiales du Logiciel Libre pour essayer de faire mon nouveau poste d'il-y-a-trois-mois-mais-que-je-n'ai-toujours-pas-commencé c'est à dire architecte. Après des conférences très intéressantes, en cherchant des restaurants, car - contrairement à une idée reçue - je ne vis pas d'amour et d'eau fraiche. Je trouva tout d'abord le restaurant Unami. Cela me paraissait un restaurant qui s'accordait à ma suite.
Malheureusement essayer d'aller manger dans un restaurant étoilé au guide rouge michelin qui ne pratique pas un tarif prohibitif en s'y prenant la veille pour le lendemain relève de la fiction la plus utopique. Ce ne fut donc pas possible. Je dois admettre que j'avais prévu le coup et que j'avais téléphoné avant.
Le lendemain je me retrouvais donc sans restaurant et avec un mauvais temps typique de l'Est, c'est à dire des trombes d'eau.
Je passa donc au plan B. J'avais repéré lundi en allant à la faculté de droit ou se déroulait les conférences un restaurant figurant dans mon Guide Vert Week-end Strasbourg : la table de Christophe. Las je n'eu pas plus de chance quand j'ai appelé, oui je réserve quand le déluge toque à ma fenêtre...
Je passa donc au plan C. Pendant que je cherchais un restaurant japonais le samedi soir, j'avais vu un restaurant fermé qui affichait le macaron du guide michelin. Je m'étais fait une note mentale de le faire éventuellement . Mais ma tête de linotte n'avait pas pensé à noter le nom... Je me lança donc dans une recherche par google maps car je me rappelais heureusement de la rue. Après quelque requêtes je retrouva le nom : L'atelier du goût. Je téléphona et miracle il y avait encore de la place.
Il ne me restait donc plus qu'à retrouver mon tuba et mes palmes pour rejoindre le restaurant.
Comme mise en bouche on me servit un crevette frite que j'accompagna d'un verre de Autrement blanc Jacquère 2010 de Jacques Maillet.
L'entrée fut un Mantecato - une crème de morue - servi avec des anciennes variétés de tomate : Un plat excellent merveilleusement accompagné d'un Côtes du Roussillon Les Glaciaires J. Gardiès.
Le plat principal fut une côte de taureau accordé à un Baga rouge de Bairrada - vin portugais. je crois que c'était la première fois que je dégustais du taureau et ce fut un vrai régal des babilles.
Le dessert fut plus plus classiquement un framboisier. On me proposa tout d'abord de me servir un Banyuls Je ronchonna car pour une fois que je ne prenais pas un dessert à la base de chocolat, la proposition était toujours un Banyuls. Au final on me proposa un verre de champagne rosé donc la sécheresse s'accorda très bien au gâteau.
En disgestif je sucomba une foie de plus à mon péché mignon, un verre de chartreuse verte
Une excellente soirée et un trés bon restaurant et pour finir je me rendis compte qu'en fais mon plan. C'était le restaurant Kobus. J'avais repéré également L'atelier du goût samedi soir et fait une note mentale de le tester, mais mercredi j'avais inversé Plan C et Plan D . Et vous savez quoi ? je ne regrette pas mon erreur...
jeudi 12 mai 2011
Diner chez Ciasa mia
Vendredi soir, après une journée à utiliser mes talents de magiciens pour ma port, je suis parti diner avec une charmante amie chez Ciasa mia, un restaurant italien Gastronomique, que m'avait conseillé un ami au gout très sur.
Nous eûmes tout d'abord un jaune d'oeuf à la truffe blanche en amuse bouche :
Aprés un cocktail vénitien, je fis honneur à ma réputation de grand amateur de la chère, et je pris des fleurs de courgettes en tempura :
Le plat principal était des noix de Saint Jacques...
...cuites en cinq minutes :
Après avoir été rincé dans une Centrifuge de carottes, ces noix fut accompagné par un excellent vin blanc bio le Semplicemente Vino Bellotti :
Pendant que nous dégustions un entremet...
...les préparatifs se mettaient en place pour le dessert...
...car nous avions pris un Plain de couleurs :
Nous avons finis la soirée avec un limoncello.
Ce fut donc une excellente soirée dans un des meilleurs italiens que je connaisse avec a Tavola, et sans doute le meilleur que je connaisse à Paris