Archives juillet 2011

dimanche 31 juillet 2011

Gâteau aux pêches

Tout d'abord des macarons à l'extrait de café en guise d'amaretti :
Macarons à l extrait de café.jpg
pour faire ensuite :
Gâteau aux pêches.jpg

samedi 30 juillet 2011

Soft and Chewy Chocolate Chip Cookies

Soft and Chewy Chocolate Chip Cookies.jpg

mercredi 27 juillet 2011

Déjeuner chez Hiramatsu

Il fallait bien que je fasse honneur à ma réputation de vil démon tentateur : Toi, tu es le diable incarné, le Tentateur dans toute sa splendeur

Je traina donc mercredi midi un ami chez Hiramatsu.


Nous fime le choix de prendre le menu déjeuner d'affaire, menu en trois plats, à quarante-huit euros, ce qui pour un restaurant gastronomique est peu onéreux.


Nous commençames par une coupe de champagne qui agrémentait un sorbet de melon.

sorbet Melon.jpg

Devant le botin qu'était la carte des vins, le maitre d'hotel nous conseillai un Givry, qui était simplement excellent et s'accorda avec les plats à merveille.


L'entrée fut un saumon sauvage confit.

Saumon sauvage confit.jpg

La photographie n'arrive pas à rendre hommage, en effet le plat était posé sur de la neige carbonique aromatisé aux herbes, des fumées blanches sortaient donc du plat. Le mélange des saveurs entre le saumon et le tartare de crevette était adorable mais surprenant.


Le plat principal arriva alors, c'était pour nous deux un Filet de rascasse à la plancha

Filet de rascasse à la plancha-.jpg

La tranche de lard grillé faisait pour mois un contrepoint aux filets de poisson , mon convive n'était pas de cet avis, mais cela ne nous empécha pas d'apprécier le plat.


En dessert , mon ami prit un Riz noir "Venere" au lait croustillant d'amandes,

Riz noir Venere au lait croustillant d amandes.jpg

Pour ma part je pris une compote de pêche plate en coupe façon Melba.

Compote de pêche plate-en coupe façon Melba.jpg

C'était un assemblage d'un sabayon pêche sur une compote et un granité avec un coulis de framboise. Divin.


Nous finissame avec deux café et leur mignardises. C'était une truffe et un cannellé. Soucis du détail, les truffes étaient fixé à l'assiette par un peu de sauce chocolat.

Mignardises.jpg

Nous vimes le chef (japonais pur souche) qui voulait savoir si le repas était à nôtre goût. Ce qui était tout à fait le cas.

En fait la seule surprise désagréable vu au moment de régler quand nous sûmes que la coupe de champagne était à vingt euros. Nous avons trouvé cela exagéré, mais las nous savons maintenant ou ils font leur marge, et le champagne était vraiment bon.


Hiramatsu est donc un excellent restaurant gastonomique, inventif et abordable tant que l'on se méfie des apéritifs, et que l'on reste raisonnable sur la divine bouteille (qui peut monter jusqu'à six milles euros).


Il reste maintenant à faire un tour au Japon pour tester les autres restaurants.


Sur ces plans futurs, je repartis ensuite travailler jusqu'à vingt heures car la business intelligence est une petite chose fragile et a besoin de beaucoup d'attention...

lundi 25 juillet 2011

Cuisse de poulet à la diable

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dimanche 24 juillet 2011

Âme et corps

La conscience est la voix de l'âme les passions sont la voix du corps.

dimanche 24 juillet 2011

Tatin de tomates d'Annie

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dimanche 24 juillet 2011

Galettes de quinoa aux légumes

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lundi 18 juillet 2011

American Power

Mardi j'avais pris une de mes rares journées de congé pour aller voir l'exposition de photographies de Mitch Epstein "American Power" à la fondation Henri Cartier-Bresson .

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Je ne sais pas su vous avez remarqué mais ce mardi était un jour que Dieu avait retoqué pour le déluge, à juste titre car trop humide Malheureusement avec la crise , Il a du l'utiliser mardi.

Je partis donc l'après midi par le bus 38, pour me rendre dans le 14 arrondissement. Je pensais trouvait la fondation boulevard Raspail. Las, quand je suis arrivé devant la Fondation Cartier pour l'art contemporain, il m'est apparu clair comme de l'eau de roche que je m'étais trompé de lieu. Et fier comme Artaban, je n'avais pas noté l'adresse de la fondation Henri Cartier-Bresson. Je regretta le fait d'être passéiste et de n'avoir qu'un téléphone ne faisant que téléphone et non pas interne-shampoing . Mais je décida que trempé pour trempé, j'aillais voir cette exposition, par Jupiter !

J'envoyais donc un SMS à une amie lui demandant de me trouver l'adresse de la fondation Cartier-Besson. Malheureusement, étant en réunion, elle ne put m'aider. Attendant le message salvateur, je décida de trouver un magasin de presse pour trouver l'adresse dans les magazines d'art. Je remonta vers Port Royal puis obliqua par le boulevard du Montparnasse. Rien, à part un restaurant La créole (122, boulevard du Montparnasse) que je testerais peut-être un jour. Quand j'arriva à la tour, j'obliqua vers la Fnac rue de Renne, espérant trouver l'addresse dans un guide de Paris. Victoire.

Comme c'était non loin de là, je me retrouvais devant la fondation humide, mais ravi.

Fondation Henri Cartier-Bresson.jpg

Je pu donc admirer les superbes tirages de Mitch Epstein qui montre bien la démesure et la deliquescence de notre mode de vie . Un extrait de la notice :

En 2003, suite à une commande pour le New York Times, Mitch Epstein se rend à Cheshire dans l'Ohio. Un village complet doit être abandonné pour cause de pollution. En dédommageant les habitants, l'American Electric Power, la société responsable de la contamination du sol cherche à ce qu'ils partent sans bruit et surtout sans engager de poursuite judiciaire s'ils tombaient malades. Marqué par ce reportage, Mitch Epstein décide alors de se lancer dans un vaste projet intitulé American Power , un tour photographique des États-Unis avec pour ligne conductrice l'énergie- son mode de production, son utilisation, et ses doubles ramifications.

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Je reconnais qu'il faut mieux aussi aimer les bâtiments industriels et la photographies. Mais si vous aimez courez vites l'exposition ferme dimanche 24 juillet.

Et L'écrin de la fondation est merveilleux, La salle sous les toit me donne vraiment envie.

Fondation Henri Cartier-Bresson-2.jpg

Pour finir en explorant cette salle, je me rendis compte que mon appareil photo ressemblait comme un frère au premier appareil de Henri Cartier-Bresson.

Je repartis sous un fin crachin vers de nouvelles aventures..

vendredi 15 juillet 2011

Diner chez Kiku

Samedi soir, avec un excellent ami, nous décidâmes malgré les trombes d'eau s'abattant sur la capitale de tester le restauant japonais Kiku, qui m'avait été recommandé par un ami dont je conserverais l'anonymat, car il y a la vengeance prompte.

Nous arrivâmes donc chez Kiku sur les pointes de 19h30, à l'ouverture. Miracle nous avons pu avoir la derniére table non réservée.

Après un excellent cocktail Kiku, mélange de champagne et de vin de prune, nous commençâmes notre diner par un assortiment de sushi de patate douce, ravioli sauce yuzu, sushi de tofu.

sushi de Patate douce.jpg

Suivirent des sashimi de chinchard à l'huile de yuzu :

sashimi de chinchard à l'huile de yuzu.jpg

Pour finir avec les entrées, des tempuras de gamba :

Tempuras de gamba.jpg

Nous attaquâmes ensuite les plats principaux , J'avais pris une fondue de filet de bœuf et œuf mollet servi avec du riz minute et ses légumes , le tout accompagné d'une des meilleures soupe miso que j'ai gouté :

Fondue de filet de bœuf.jpg

Ce plat, objectivement moins fin que les entrées, était excellent et m'a permis de mettre un goût sur la saveur Umami.

Pour finir je pris des crèmes brulées au thé vert et au sésame noir :

Crèmes brulées au thé vert et au sésame noir.jpg

Elles étaient bonnes mais un cran en dessous du salé.

Kiku (56 rue Richer 75009 Paris - 01 44 83 02 30) est un des meilleurs japonais que j'ai gouté à paris par sa cuisine différentes des autres japonais français. il faut juste arriver à avoir une table (la salle est minuscule).

Repus de ce repas nous pûmes repartir sous la pluie battante, vers l'antre de la bête et de ses minions.

jeudi 14 juillet 2011

Blondie à la menthe

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mercredi 13 juillet 2011

Diner à l'atelier du Goût

Je passais quelques jours à Strasbourg pour déjeuner avec des amis à la cloche à fromage ,

Cloche à Fromage 2011.jpg

ainsi que pour aller aux Rencontres Mondiales du Logiciel Libre pour essayer de faire mon nouveau poste d'il-y-a-trois-mois-mais-que-je-n'ai-toujours-pas-commencé c'est à dire architecte. Après des conférences très intéressantes, en cherchant des restaurants, car - contrairement à une idée reçue - je ne vis pas d'amour et d'eau fraiche. Je trouva tout d'abord le restaurant Unami. Cela me paraissait un restaurant qui s'accordait à ma suite.

Malheureusement essayer d'aller manger dans un restaurant étoilé au guide rouge michelin qui ne pratique pas un tarif prohibitif en s'y prenant la veille pour le lendemain relève de la fiction la plus utopique. Ce ne fut donc pas possible. Je dois admettre que j'avais prévu le coup et que j'avais téléphoné avant.

Junior suite.jpg

Le lendemain je me retrouvais donc sans restaurant et avec un mauvais temps typique de l'Est, c'est à dire des trombes d'eau.


Je passa donc au plan B. J'avais repéré lundi en allant à la faculté de droit ou se déroulait les conférences un restaurant figurant dans mon Guide Vert Week-end Strasbourg : la table de Christophe. Las je n'eu pas plus de chance quand j'ai appelé, oui je réserve quand le déluge toque à ma fenêtre...


Je passa donc au plan C. Pendant que je cherchais un restaurant japonais le samedi soir, j'avais vu un restaurant fermé qui affichait le macaron du guide michelin. Je m'étais fait une note mentale de le faire éventuellement . Mais ma tête de linotte n'avait pas pensé à noter le nom... Je me lança donc dans une recherche par google maps car je me rappelais heureusement de la rue. Après quelque requêtes je retrouva le nom : L'atelier du goût. Je téléphona et miracle il y avait encore de la place.


Il ne me restait donc plus qu'à retrouver mon tuba et mes palmes pour rejoindre le restaurant.


Comme mise en bouche on me servit un crevette frite que j'accompagna d'un verre de Autrement blanc Jacquère 2010 de Jacques Maillet.

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L'entrée fut un Mantecato - une crème de morue - servi avec des anciennes variétés de tomate : Un plat excellent merveilleusement accompagné d'un Côtes du Roussillon Les Glaciaires J. Gardiès.

Mantecato et Tomate « variétés anciennes » au basilic pourpre.jpg

Le plat principal fut une côte de taureau accordé à un Baga rouge de Bairrada - vin portugais. je crois que c'était la première fois que je dégustais du taureau et ce fut un vrai régal des babilles.

Côte de Taureau et Légumes Grillés.jpg

Le dessert fut plus plus classiquement un framboisier. On me proposa tout d'abord de me servir un Banyuls Je ronchonna car pour une fois que je ne prenais pas un dessert à la base de chocolat, la proposition était toujours un Banyuls. Au final on me proposa un verre de champagne rosé donc la sécheresse s'accorda très bien au gâteau.

Framboisier de l Atelier.jpg

En disgestif je sucomba une foie de plus à mon péché mignon, un verre de chartreuse verte


Une excellente soirée et un trés bon restaurant et pour finir je me rendis compte qu'en fais mon plan. C'était le restaurant Kobus. J'avais repéré également L'atelier du goût samedi soir et fait une note mentale de le tester, mais mercredi j'avais inversé Plan C et Plan D . Et vous savez quoi ? je ne regrette pas mon erreur...

jeudi 7 juillet 2011

Salade d'aubergines

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lundi 4 juillet 2011

Cuisson des rochers à la noix de coco

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