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Et à propos, je tiens à remercier un anonyme qui, un jour m'a aidée à supporter une séance de musique contemporaine spécialement absconse. Ça commençait tragiquement : la chanteuse avait braillé huit onomatopées, le percussionniste avait fait bong, le contrebassiste avait fait clong, et nous marinions dans un silence inexplicable depuis dix bonnes minutes quand mon voisin a lâché d'une voix lugubre : Je sens que cela va me plaire. J'ai passé le reste de la séance à essayer de rigoler moins fort. Ça occupe bien.