Once upon a time, j'étais à Strasbourg pour voir un ami et écouter quelques conférences aux RMLL. Je logeais dans un petit hôtel miteux situé dans la Petite France .
En recherchant un dernière restaurant dans ce quartier, j'avais trouvé Umami, caché derrière une devanture très sobre par rapport aux autres restaurants.
Las, il était complet pour le reste de mon séjour.
Je ne m'avouais pas vaincu, je savais que je reviendrais à Strasbourg l'année suivante.
L'année suivante donc, je partis revoir l'ami strasbourgeois. J'étais accompagné d'un ami qui avait proposé de faire un WE gastronomique. Je ne lui imposais comme contrainte que je voulais absolument tester Umami. Nous le gouttâmes, le trouvâmes trés à notre goût. Et pris par d'autres engagements avec le monde, j'oubliais de faire une critique.
Cette année, je repris date pour déguster de nouveau un excellent repas. Show must go on...
En recherchant un dernière restaurant dans ce quartier, j'avais trouvé Umami, caché derrière une devanture très sobre par rapport aux autres restaurants.
Las, il était complet pour le reste de mon séjour.
Je ne m'avouais pas vaincu, je savais que je reviendrais à Strasbourg l'année suivante.
L'année suivante donc, je partis revoir l'ami strasbourgeois. J'étais accompagné d'un ami qui avait proposé de faire un WE gastronomique. Je ne lui imposais comme contrainte que je voulais absolument tester Umami. Nous le gouttâmes, le trouvâmes trés à notre goût. Et pris par d'autres engagements avec le monde, j'oubliais de faire une critique.
Cette année, je repris date pour déguster de nouveau un excellent repas. Show must go on...
Après une excellente coupe de champagne, nous commençâmes notre repas par des nems de canard, avec une sauce à l'aigre douce. Le canard était excellemment cuit , ce fut un vrai régal.
Nous eûmes ensuite un tartare de crevettes, accompagné de concombres marinés dans dans du vinaigre de riz. Je n'aurais jamais pensé à faire mariner des concombre dans du vinaigre de riz. Les tranches étaient devenues blanches, et le mélange étonnait les papilles.
Nous poursuivîmes avec des écrevisses sauvages sur leur lit de chou d'été, avec une sauce au wasabi. Le wasabi était fort bien dosé, La dégustation fut un réel plaisir.
Nous finîmes la mere avec un filet de Saint Pierre, purée de coriandre et pesto de persil. Le tout accompagné d'un verre de vin du Luberon. Le mariage était excellent.
La piéce de viande consistait en de la poitrine de porc hispanique accompagnés de ses légumes du moments Le vin était un côte du rhône. Le mélange des goûts était un régal.
La note sucrée était porté par les fruits de saisons, c'est à dire des abricots servie avec une glace au chocolat blanc et une tuile à la noix de macadamia. Un vrai bonheur.
Pour finir, sur les conseil de mon commensal, je pris un thé blanc du Tibet, un pur délice
Nous eûmes ensuite un tartare de crevettes, accompagné de concombres marinés dans dans du vinaigre de riz. Je n'aurais jamais pensé à faire mariner des concombre dans du vinaigre de riz. Les tranches étaient devenues blanches, et le mélange étonnait les papilles.
Nous poursuivîmes avec des écrevisses sauvages sur leur lit de chou d'été, avec une sauce au wasabi. Le wasabi était fort bien dosé, La dégustation fut un réel plaisir.
Nous finîmes la mere avec un filet de Saint Pierre, purée de coriandre et pesto de persil. Le tout accompagné d'un verre de vin du Luberon. Le mariage était excellent.
La piéce de viande consistait en de la poitrine de porc hispanique accompagnés de ses légumes du moments Le vin était un côte du rhône. Le mélange des goûts était un régal.
La note sucrée était porté par les fruits de saisons, c'est à dire des abricots servie avec une glace au chocolat blanc et une tuile à la noix de macadamia. Un vrai bonheur.
Pour finir, sur les conseil de mon commensal, je pris un thé blanc du Tibet, un pur délice
Ce fut donc un excellent repas , encore une fois, dans une ambiance très agréable. Je ne regrette pas le hasard qui m'a fait découvrir ce restaurant, et j'y reviendrais.