Votre grâce, vous pensez que c'est encore trop tôt, je le sais, mais nous avons vraiment besoin d'elle. Grand Besoin, même
Je comprends, fit patiemment Benjamin, mais je ne veux pas lui forcer la main. Elle se remet encore, Wesley. Il lui faut du temps.
Cela fait déja neuf mois, vôtre Grâce, répondit Matthews sur un ton respectueux mais insistant.
Je m'en rends compte, et je sais aussi combien elle pourrait vous apporter, mais on ne peut pas vraiment dire que la vie l'ait épargnée, n'est ce pas ?, Benjamin soutint le regard de son amiral, et Matthews secoua la tête. elle mérite qu'on lui laisse le temps de guérir ses blessures, poursuivit il, et j'entends veiller à ce qu'elle l'ait. Attendez qu'elle soit prête, Wesley.
Mais comment saurons-nous qu'elle est prête si vous ne me laissez même pas lui en parler ?