Les partisans de réformes radicales feraient bien de comprendre dès maintenant que nôtre tâche sera longue et difficile. Et ceux qui s'intéressent moins aux réformes qu'au pouvoir - il y a en dans cette salle, ajouta-t-il avec un mince sourire - doivent se mettre dans la tête que, sans réforme, d'ici dix ans, il n'y aura plus de pouvoir à exercer. Les réformateurs ont besoin de pouvoir pour agir, et ceux qui courent après le pouvoir ont besoins de réformes pour survivre. Gardez-le tous à l'esprit.